Bonjour tout le monde !

Je me trouve une passion, depuis que je suis à la retraite, je lie mon amour pour la politique et la société, à ma réflexion logique et écrite.

Ici, vous trouverez mes pensées, mon expérience. Je développerais certains sujets qui me tiennent à cœur. Je suis homme passionné, je fais les choses avec le cœur, depuis ma plus tendre enfance.

Le cœur et la raison n’ont pas selon moi, besoin d’être détaché car s’ils savent s’instruire, ils évoluent en harmonie.

Très raisonné, le plus subjectifs possible, j’essaye de proposer des textes utiles, qui peuvent faire avancer les points de vu. Je m’amuse d’un rien et m’intéresse à tout !

Vous êtes ici chez vous, comme je le dit souvent, mais dans MON espace personnel.

Le casse tête du logement

Pour une fois qu’une loi est efficace, il serait fairplay de le mentionner. Dans le cas de la loi Pinel, même si le but est atteint, il est aussi nécessaire d’en noter les effets pervers.

Depuis le 1er Septembre 2014, la loi Pinel permet, dans les grandes lignes, aux particuliers de bénéficier de réduction d’impôts à la condition d’investir dans l’immobilier et de louer leur bien pendant 6 ans minimum.

Cette loi, était destinée à relancer la construction de logements neufs et à proposer plus de logements en location aux personnes aux revenus modestes.

Objectif grandement accompli, notamment à Toulouse à en croire un article qui observe des investissements en augmentation en Occitanie. Avec près de 27% des transactions identifiées comme étant des investissements locatifs en 2018, la région présente une augmentation de 5% oar rapport à 2010.

Le bilan est donc plutôt positif. Mais où en est-on du coté des locataires ?

Les conditions pour louer un bien en loi Pinel se base sur le revenu du foyer. Ceux-ci, selon leur situation, ne doivent pas dépasser un certain revenu fiscal de référence.

Il faut avouer que c’est en effet une bonne nouvelle pour les locataires qui ont de faibles revenus, mais qu’en est-il des autres, de ceux qui dépassent de quelques euros le plafond ? Il faut prendre en compte l’intégralité du paysage administratif du marché de la location.

Les propriétaires ou agences vous demandent, la plupart du temps, de justifier d’un revenu mensuel 3 fois supérieur au montant du loyer, ce qui réduit d’avantage les possibilités pour bénéficier de la location sous loi Pinel lorsqu’on gagne à peine plus que les plafonds.

Lorsque vous dépassez ces plafonds vous avez aussi de grandes chances de dépasser les plafonds également pour les APL et d’être également imposables.

Donc si vous êtes dans ce cas et que vous voulez louer un logement neuf, il vous faudra bien souvent passer par les agences et lacher des frais exhorbitants en plus de votre caution et de votre premier loyer.

Je passe sur les garanties toujours plus importantes qui sont en plus demandées aux locataires pour monter leurs dossiers, effet pervers des lois qui surprotègent ceux qui ne paient pas leurs loyer…

Tous ces facteurs rendent la location de plus en plus compliquée pour la classe moyenne, si il en existe encore une.

Alors même si les intentions de l’Etat sont louable, je pense que celui-ci devrait se pencher un peu plus sur les conséquences des mesures qu’il met en place.

A méditer donc.

J.DUPIN

Vieillir ou conduire il faut choisir ? Pas forcément.

Dernièrement, je suis tombé sur cet article. Une documentation des plus intéressantes sur les problèmes dont souffrent les seniors et qui se répercutent sur leur manière de conduire. Je ne suis pas de ceux qui râlent lorsque je rencontre un retraité de longue date sur une départementale. Je comprends qu’on roule moins vite par mesure de sécurité, cela n’est pas bien difficile à intégrer…

Mais cela dit, quand on voit tous les progrès technologiques (inutiles pour une bonne partie soyons clairs), ne pourrait-on pas créer des véhicules adaptés aux seniors et à leur conduite ? Je suis sur que l’on pourrait aisément insérer des gadgets ergonomiques et simples à utiliser pour les personnes âgées.

Quand on pense que la plupart, qui voient leurs pouvoir d’achat baisser de plus en plus, doivent encore rouler dans des voitures en piteux état, cela met forcément en danger leur sécurité… Je pense qu’outre les véhicules adaptés aux seniors, il serait bon que l’état se bouge pour leur proposer une aide financière à ce niveau.

Être dans un âge avancé ne signifie pas forcément voir ses capacités diminuer. Nos seniors devraient pouvoir conserver le droit de se déplacer librement afin d’effectuer diverses commissions. Même si la route est probablement LE temple des incivilités, j’estime qu’ils ont leur place sur nos voies !

Certains retraités n’ont parfois pas le « luxe » de pouvoir rejoindre un commerce éloigné par exemple, c’est juste inadmissible. Certains revendeurs de première nécessité se trouvent à des kilomètres. Pour les habitants de petits villages, cela devient vite handicapant de ne pas disposer de véhicule. La société a rendu la voiture indispensable, il faut en assumer les conséquences, et assister chaque personne en capacité de conduire.

Personnellement, je suis en pleine possession de mes moyens. Mais ma voiture commence à accuser le coup, bien qu’il me soit difficile de m’en séparer, tant j’ai vécu de choses avec. Il s’agit d’une Citroën Xsara de la fin des années 90. 1999 je crois ? En tout cas, il devient évident qu’elle vit ses dernières heures, et, mes moyens étant ce qu’ils sont, je vois l’achat de mon prochain véhicule avec appréhension. Est-ce normal ? Dois-je me retrouver piéton forcé pour autant ?

Mon cas est peu de choses face à la détresse de certains seniors. Le père d’un de mes amis approche de ses 90 printemps, et, malgré son âge vénérable, il est au moins capable d’effectuer des petits trajets jusqu’aux villages voisins pour faire son marché. D’ailleurs, pas plus tard que la semaine dernière, il a ramené son fils (avec sa voiture), car ce dernier s’était foulé le poignet lors d’une partie de tennis. Et ce trajet s’est fait sans encombre ! Mais cet ancien architecte n’est malheureusement plus véhiculé, sa voiture ayant rendue l’âme depuis 2 ans maintenant.

C’est pour ça que l’Etat doit intervenir pour ces gens-là. Les accompagner et leur proposer une aide financière adéquate. Comment faire pour qu’il puisse prendre rendez-vous pour acheter un nouveau véhicule ? Choisir les options ? De bonne qualité ?

Comme je le dis souvent, qu’il est difficile d’évoluer dans notre monde de nos jours… Surtout pour les personnes âgées visiblement…

J. DUPIN

La culture, mot et concept magnifique.

Dans la langue française, le mot « culture » signifie au sens propre du terme, « l’ensemble des connaissances générales d’un individu ».

C’est dans le Dictionnaire national de Bescherelle de 1862, que l’on trouve cette brève définition. Au premier plan de la connaissance, ce sont les connaissances scientifiques qui sont représentées mais aujourd’hui, nous appelons cela la « culture générale », tout simplement. Ce n’est qu’après, en 1980 que le Petit Larousse apporte une information importante à la notion de culture, l’aspect collectif, en plus de l’aspect individuel avec les structures religieuses et sociales pour ne citer que cela. Le Petit Larousse regroupe les éléments qui caractérisent finalement une société dans son ensemble.

Si dans la langue française la culture est représentée par un seul mot, confondant ainsi facilement la partie individuelle comme collective, dans d’autres langues les termes sont distincts avec un mot pour définir chacun d’entre eux. De cette distinction, née en France une différenciation par plusieurs définitions du même mot, faisant ainsi la différence entre les aspects individuels et collectifs de la culture.

Aujourd’hui, en France on peut retrouver donc ces deux définitions de la culture :

  • « La culture individuelle : La culture propre à chacun, construction personnelle de ses connaissances donnant la culture générale. » La culture individuelle comporte une dimension d’élaboration et de construction rattachée à l’éducation. La culture individuelle évolue constamment car elle est enrichie chaque jour.

 

  • « La culture d’un peuple : L’identité culturelle de ce peuple, la culture collective à laquelle on appartient. » La culture collective correspond à une histoire, un art. Cet aspect de culture évolue lentement, contrairement à la culture individuelle. Pour qu’une culture soit considérée comme « culture du people » elle doit être adoptée par tous et depuis un certain temps.

Les deux termes finissent finalement par se recouper car complémentaires, et dépendants l’un de l’autre. Souvent confondus, souvent synonymes, et parfois pourtant opposés.

La culture est d’une complexité et pourtant elle fait ce que nous sommes, ce que nous serons. Elle fait se nous des êtres cultivés ou incultes. Elle nous différencie et nous rapproche aussi. Elle sépare parfois des peuples ayant une culture différente ou opposée.

Respectons la culture de chacun et intéressons-nous à celle de tout un chacun

J.DUPIN

Les femmes et le droit dans le temps

Pour avoir vécu un petit bout de vie je peux affirmer que la place des femmes dans la société a évolué. Mais parfois elle a plus évolué sur le papier que dans la réalité. Depuis deux siècles, il y a eu de nombreuses lois permettant en théorie, une égalité homme femme plus prononcée. La liberté est une notion qui n’a pas la même sonorité pour tout le monde et face à cela, les femmes sont bien trop souvent impactées.

Durant des siècles entiers, les femmes se sont battues et cette lutte pour une liberté égale à celle des hommes est encore en marche. Des dérives avec parfois des abus et des médisances sur les actions de ces femmes fortes, entachent leur lutte acharnée. Des profiteurs là pour simplement casser et souiller l’image de la lutte pour une liberté individuelle et égale, sèment le doute dans les esprits.

Heureusement, des personnes intelligentes mènent à bien le combat et les choses finissent par avancer petit à petit et les mentalités viennent à changer avec le temps. La place de la femme étant souvent attaquée que cela soit en entreprise, au foyer, dans le couple … J’ai quand même pu remarquer une évolution en leur faveur si je puis dire, dans le courant des dix dernières années surtout.

J’ai trouvé ce site http://www.infofemmes.com/v2/p/Se-documenter/Historique-du-droit-des-femmes/60 qui fait du bien à la mémoire et qui rafraîchi cette dernière avec quelques dates importante pour la condition féminine en France depuis deux siècles.

A bientôt,

J.Dupin

Le 14 février 2018 – trop de fusillades aux USA – Armes à feu et constats

J’ai lu un article qui date du 14 février 2018 et j’en ai été très touché. J’ai pris un moment pour analyser la situation. D’après ledit article, il y aurait eu 291 fusillades aux USA depuis 2013. Ce qui revient à une fusillade par semaine environ, dans une école américaine depuis 2013.

Mercredi 14 février, les Etats-Unis connaissaient on le sait tous, une nouvelle fois une situation tragique : une fusillade dans un établissement scolaire. La Floride est depuis, endeuillée, comme le reste du monde entier. La plupart de ces fusillades ne font d’ailleurs même pas les gros titres de la presse nationale, étant donnée leur banalité répétitive.

Les fusillades à répétition deviennent évènements tragiquement banals aux USA. Pour cette raison, les débats reprennent de plus belle concernant les armes à feu. Il est vrai que la Constitution met un point d’honneur à associer la Liberté au fait de pouvoir porter et posséder une arme à feu si un individu le désire. Les américains sont extrêmement attachés à cette règle d’or qui rejoint leurs valeurs. Une solution qui pourrait faire office de tranchant dans cette histoire c’est le durcissement des lois concernant les armes individuelles et cela, dans tous les états d’Amérique.

On ne peut malheureusement jamais se prémunir à 100% des attaques à l’aveugle e la sorte. Même si des formations et des préventions sont effectuées dans les établissements. Même si des portiques et des mesures de sécurité sont mis en place, les individus ne seront jamais vraiment à l’abris d’un autre qui a perdu la tête.

Une grosse pensée à tous ceux qui ont vécu de loin ou de près un événement de la sorte.

J.DUPIN

Le mensonge politique, une institution

Ce n’est pas vraiment une question que l’on peut se poser de nos jours ou plutôt si, on devrait se la poser. Mais se la poser reviendrait à devenir fous. Et si nous ne pouvions pas faire confiance aux politiques ? Et si tout n’était absolument que manipulation ? Et si d’un coup grâce aux technologies aux réseaux sociaux aux médias et à la « clairvoyance » de certains, nous nous rendions compte que les politiques veulent seulement nous attirer dans leurs filets pour obtenir de nous ce qu’ils veulent ce qu’ils souhaitent. C’est d’ailleurs de cette manière que voient les choses, certains.

C’est vrai ils mentent. Mais pourquoi ? Ou alors, pourquoi évitent-ils de dire la vérité ? Tout simplement parce que c’est « ce qu’il faut faire pour gagner des élections ». Selon moi le problème ne relèverait pas des politiciens, mais bel et bien des électeurs. Les politiciens mentent parce que les électeurs punissent les candidats honnêtes, celui qui va apporter de la négativité. Point à la ligne. Si un candidat déclare en pleine campagne que les impôts ne vont pas pouvoir être diminués à moins qu’on ne réduise les services, ou s’il promet un nouveau programme qui nécessitera une hausse des impôts … Imaginez bien les scores aux élections !

Qui dit lors d’un entretien d’embauche qu’il veut avoir des horaires flexibles, aucune contrainte vestimentaire, qu’il se déchaussera peut-être dans son propre bureau lorsqu’il sera seul dans les locaux, qu’il farfouille un peu dans les placards ou que la peinture de l’entrée des bureaux et un peu trop criarde ? Non, il sera assidu et prendra plaisir à venir travailler en costard tous les matins. La décoration est magnifique.

Ils disent alors seulement ce que les électeurs veulent entendre, comme la plupart de la population finalement. Le problème c’est qu’étant donné que les politiciens ont une grande responsabilité d’image publique qu’ils trainent sur les épaules, que leurs faits et gestes sont épiés sans arrêt, qu’ils sont extrêmement attendu à chacune de leur apparition … La pression est bien plus grande. S’il dit la vérité, il sera finalement évincé.

J.DUPIN

La liberté d’opinion n’existe plus en France

Je suis par hasard en navigant sur le Web, tombé sur cette vidéo en provenance de Youtube.

Je n’ai pas beaucoup à rajouter. Je peux simplement vous faire un topo concernant cette dernière. Il est difficile de voir les choses positivement après avoir vu cette vidéo. Il est vrai que je me documente régulièrement concernant les nouvelles lois et que je reste à l’affut concernant leur application. Mais pour le coup celle là je ne l’avais pas vu venir aussi virulente.

Notre liberté d’expression serait grandement remise en cause et cela depuis déjà bon nombre d’années.  En effet depuis 1972 avec notamment la loi Pleven et Gayssot en 1990, la liberté de parole est en danger. A cela s’ajoute la nouvelle loi concernant les Fakes News …

Laissez moi vous expliquer. Depuis déjà des décennies, il est prohibé d’exprimer en France une opinion étant contraire au politiquement correct ou allant à l’encontre des mesures du gouvernement. Si une entité ou une personne physique s’avise de transgresser cette règle, les sanctions peuvent être lourdes, pouvant aller jusqu’à un passage devant la cours de justice et encourant alors de nombreuses sanctions.  Sur Internet, le contenu est alors supprimé, déréférencé, bloqué et les comptes utilisateurs bannis.

Ceci revient en tout et pour tout à confier au Gouvernement Français, la capacité intellectuelle, le pouvoir physique et la parole d’évangile, en ce qui concerne la Vérité. Le vrai du faux.

Jean François Revel, grand philosophe et journaliste dit : « Une presse libre n’est pas une presse qui a toujours raison et qui toujours honnête. Pas plus qu’un homme libre n’est un homme qui a toujours raison et qui est toujours honnête. S’il avait fallu, pour autoriser la littérature, attendre d’avoir appris d’abord à en bannir la « mauvaise », nous serions encore occupés à corriger le premier jeu des preuves de l’histoire de l’imprimerie. »

En Allemagne, depuis le 1er janvier 2018, les communications sur le web n’étant pas conformes au « politiquement correct » doivent être immédiatement censurées. Saviez-vous que les médias sociaux comme Facebook Youtube ou Twitter, possédant plus de 2 millions d’utilisateurs, sont forcées d’appliquer la censure à tout contenus haineux, contraire au politiquement correct sous 24h ? Que dans le cas contraire elles écoperont d’une amende pouvant avoisiner les 50 millions d’euros ? Que pour éviter de payer des sommes astronomiques, elles préfèrent exagérer l’application de ces lois pour se prémunir ? Et vous savez comment cela s’appelle mesdames messieurs ? De l’atteinte à la liberté d’expression. Tout simplement.

Je terminerais par quelques chiffres éloquents, quant à la prohibition de contenus à travers le monde. J’espère que vous êtes bien assis car, si vous découvrez les chiffres comme moi il y a quelques minutes, je vous garantit que vous allez avoir besoin de reprendre vos esprits. La France bloque à elle seule, 37 990 page sur Facebook, se plaçant ainsi à la première place du classement. Vient ensuite l’Inde avec 30 126 pages. Quant à la Russie … 84 pages seulement.

La vidéo donne expressément plus de détails quant aux chiffres ou bien d’autres informations.

Je suis complètement outré.

Les canadiens ont le multiculturalisme dans la peau !

On connait la culture canadienne pour bien de nombreuses raisons, autres que le sirop d’Erable. Les lois prévoient depuis toujours des avantages pour les populations étrangères qui viennent s’y installer, le cadre de vie attire depuis des lustres de nombreuses nationalités.

J’ai même pu lire : « Le multiculturalisme a de plus en plus tendance à ce que les Québécois de culture majoritaire initiale se soumettent aux nouvelles cultures. Le multiculturalisme serait une sorte de communisme culturel qui ne prend en compte la culture majoritaire, l’identité, l’enracinement et même l’histoire d’une nation. »

Mais qu’est ce que multiculturalisme selon les canadiens ?

http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/cnd-loi-multiculturalisme1988.htm

C’est une forme de liberté, non, c’est totalement une liberté culturelle que de pouvoir défendre les couleurs de chaque être respirant sur cette terre. Et le défendre par une loi est extrêmement important.

Mais tout ce multiculturalisme est menacé depuis moins de 10ans, concernant également les différentes mutations démocratiques. « Le multiculturalisme repose sur l’inversion du devoir d’intégration : ce n’est plus à l’immigrant de prendre le pli de la société d’accueil, mais à celle-ci de transformer ses institutions. »

Cette vision a été mainte fois remise en question mais le Canada fait toujours office de terre d’accueil.

J.DUPIN

Ils me fascinent

Il y a quelques semaines, j’ai écrit un article sur Agoravox. (cf. le lien  pour lire son contenu).

Je ne sais pas si vous connaissez le principe d’Agoravox, mais moi, il me fascine. En effet, c’est un peu partout la même chanson, sur le Net. Je m’explique, il est facile de poster n’importe où, n’importe quoi. Une photo d’un chiot. Un article sur l’utilisation de son ordinateur portable. Une recette minceur. Le principe du Net est de critiquer. Et malheureusement, Agoravox n’y échappe pas. Les articles valent parfois ce qu’ils valent, mais même lorsqu’ils sont extrêmement bien rédigés, avec du contenu de qualité, du sens, il y aura des détracteurs. Les propos de ces détracteurs sont pour la plupart non étayés, non fondés. Mais le Net se prête volontiers au jeu du « Hater » comme disent les jeunes. C’est un principe que je déteste. Pourtant, me voici ici, à vous écrire un article. Je me mets en danger face à vous, qui allez me juger.

Qu’allez-vous bien pouvoir penser de cet article ? Comment le critiquer ? Allez-vous être d’accord ou allez vous démonter tous mes arguments ?

C’est en effet pour les autres que l’on écrit, la plupart du temps. Mais les commentaires qui vont sans cesse à l’encontre de ce qu’a pu poster l’auteur, JUSTE pour dire le contraire, provient d’un certain manque. Manque d’affection (besoin de susciter des réactions autour de soi), manque de confiance en soi (prouver ou se prouver que l’on a raison) … ?

Sur Agoravox, sur cet article que je vous ai mis en lien plus particulièrement, j’ai reçu des commentaires plus qu’intéressants. Un dénommé « françois » a attiré mon attention à de nombreuses reprises. Il n’a, sur son profil personnel Agoravox, posté absolument AUCUN article. Il a commenté le mien plusieurs fois en l’espace de seulement quelques heures, pour dire, rien du tout. Il est clair que les commentaires n’apportaient rien à ma réflexion initiale. Il a même parlé de paranoïa. Pourquoi ? essayer d’exciter l’audience ? C’est alors que je suis allé consulter son profil et que je me suis aperçu qu’il était vide de sens. Il postait des commentaires à tour de bras, sur tous les articles possibles et imaginables. Il voulait juste exister ? Cela dit, il n’a jamais répondu à mon commentaire, lorsque j’ai fait état de ce point de vue.

Autre chose, j’ai proposé un article à la modération, toujours sur Agoravox. Dans cet article, (qui, au moment où j’écris celui-ci, n’est toujours pas validé), je fais état du réseau social Twitter et de la relation difficile avec les politiciens. Il était validé, mais j’avais glissé un lien utile et je me suis rendu compte que le lien ne fonctionnait pas, donc j’ai modifié l’article. Depuis, j’ai reçu un commentaire disant qu’il n’était pas normal de glisser un lien dans mon article, alors que je parle notamment de cette technique dans mon article. Preuve que l’on ne peut pas faire quelque chose sur le Net, sans être critiqué ! Allez-vous critiquer le fait que je glisse le lien de mon article qui me sert ici d’exemple ? Il y en aura bien un ou deux qui s’en révoltera, en employant des mots bien trop explicites.

Ils me fascinent, le Net me fascine, vous, vous me fascinez.

A bientôt

 

Jean DUPIN.